ADAPTABILITÉ = CRÉATIVITÉ
À chaque entretien, une nouvelle référence ou compétence est demandée.
On ne répond jamais vraiment au « profil recherché ».
Enfin, sur le papier…
– Vous cherchez un D.A. proposant des concepts percutants touchant la bonne cible tout en se démarquant de la concurrence ?
– Vous cherchez un D.A. spécialiste dans l’agro-alimentaire ?
– Vous cherchez un D.A. spécialiste de l’univers corporate ou public ?
– Plutôt secteur du luxe ? ou Grand public ?
…
Bref… Non, je ne peux pas vous présenter une expérience ou un projet dans chaque domaine spécifique.
Dans ma « carrière », j’ai eu des envies, des opportunités, des obligations… et les choix se sont fait en fonction. Et comme dirait André Gide, « Choisir, c’est renoncer » ! Enfin, tout n’est pas définitif…
Mes choix passés de projets ne signifient pas que je ne SAIS pas répondre à votre demande actuelle. Bien au contraire ! Et ce même, de manière efficace et originale.
J’ai la particularité de savoir m’adapter, et cela, avec une sensibilité juste.
Peut-être parce que j’aime relever ces défis, et que je le fais plutôt bien…
Quelques exemples :
- Vous me voyez plutôt faire de la danse ? Certainement, j’ai pratiqué le modern jazz avec passion quand j’étais ado. Mais savez-vous que les soirs où je ne dansais pas, je courais après le ballon ? D’abord le football, j’étais plutôt bonne attaquante, ensuite le handball, seule femme choisie pour les inter-classes du lycée ! Et si je veux vous faire peur, je peux vous dire que j’ai pratiqué plus tard le kung-fu qui m’a, pour l’anecdote, bien servi dans la vie.
- Pour rester à l’école, je peux également vous parler des matières scolaires. Vous pourrez constater que j’ai un bac littéraire avec option arts plastiques. Plutôt classique à première vue. Relisez ! Oui, j’ai choisi aussi l’option mathématiques. Et je peux même vous raconter que mes professeurs de maths et de physique-chimie de seconde ont toujours été persuadés que j’étais en « S ». Après tout, j’aurais pu faire un bac S avec option économie…
- Enfin un dernier exemple : pendant mes études et avant mon premier emploi dans le communication, il a fallu que je trouve divers jobs pour payer mon loyer. Si un jour j’étais hôtesse dans un hôtel 4 étoiles pour l’organisation d’un séminaire international, tenue distinguée et cheveux tirés à quatre épingles, le lendemain, je portais la tenue de sécurité et un tee-shirt large pour mettre en rayon des bouteilles de 3 litres à 2 mètres de haut en grande surface.
Pour revenir à la communication, j’ai commencé à travailler dans l’univers de la promotion, GMS, secteur alimentaire, cosmétiques grand publics… et un jour, une agence de communication m’a fait confiance en me donnant l’opportunité de travailler dans le secteur public. Je n’en avais jamais fait avant. Un an après, je ne faisais presque que ça ! Et cela a durer jusqu’à aujourd’hui.